josy poetic reveuse

Quand en ce matin triste et gris,
J'ai trouvé tes mots, plume, mon amie,
Un sourire sur mes lèvres s'est dessiné,
Tu as pour la journée ma vie ensoleillé.

Un sourire a éclairé ton visage,
Grâce à un simple partage,
Celui des mots qui chantent le bonheur,
Qui, j'espère, a réchauffé ton cœur.

Alors le linceul de l'ennui s'est envolé,
Cette âme solitaire s'est un peu éveillée,
Vers toi l'encrier s'est offert humblement,
Pour que nos mots deviennent parements.

Mon amie, l'écriture est notre bouclier
Contre toutes ces dures réalités
Nous nous aidons mutuellement
Grace à l'écriture, notre doux penchant

Le rêve est notre allié,
Il deviendra vérité,
Toi plume, moi encrier,
De ce don nous vivrons liberté.

Liberté, ce mot si doux
Qui abrite les rêvés les plus fous
Encrier, tu es le puits d'encre noire
Moi, plume, je plonge vers toi pour garder espoir.

Sur ton papier blanc je me transforme en éclair bleu,
Celui de tous les jours que je te veux heureux,
A nous deux nous allons peindre la toile bonheur,
Pour faire vibrer à l'unisson tous les cœurs.

Dans l'âtre de l'amitié,
Est née une belle flambée,
Les flammes lèchent vers les hauteurs,

Pour réchauffer nos coeurs.

Elle brule, elle consume, elle carbonise
Pour faire disparaître la solitude qui enlise
Le feu brule de plus en plus fort
Pour nous rappellez qu'il faut vivre encore

Chaque langue rouge et brulante,
Fait de nous un feu qui enivre,
C'est celui de la vie chatoyante,
Les saisons qui nous font vivre.

La flamme s'élargit, grandit
Pour chanter le sel de la vie
Pour éblouir les gens autour de nous
Et leur dire que l'amitié vaut le coup

Alors quand dans tes yeux sa lueur,
Devient lutin malin et petit bonheur,
Ton âme sourit à la vie,
Et le monde chagrin devient paradis.

La douce chaleur du partage
Nous fait imaginer de belles image
De vie à deux, de sourire, de rire à l'unisson
Et rien ne me semble plus bon

Alors comme les grandes flammes,
Dans la communnion de nos âmes,
Des flamèches naitront de nature,
Ce seront nos enfants literrature.